Actualité, information, sur les courses hippiques

samedi 19 juillet 2025 - Il est grand temps de redresser les courses.

Le produit a trop été vulgarisé. L’envie d’aller aux courses, elle, n’est plus aussi forte qu’avant, c’est un fait. Ces dernières années, la communication a essentiellement été axée sur le business des chevaux. Il faut remettre le cheval au centre des priorités. Tout comme créer une sorte de “star système” autour des jockeys qui sont preneurs de ça. En Formule 1, les budgets sont très conséquents mais, quand on présente une course, on entend jamais parler d’argent. On met en avant la course, le matériel... mais pas le prix de la voiture. Il faut mettre un coup de pied dans la ruche.


ENTRETIEN AVEC Bruno Barbereau.

C’est faisable de redresser la barre, mais pas avec le modèle employé aujourd’hui. Cela ne suffit pas de baisser les allocations. Il y a des économies à faire à tous les niveaux. Il faut restructurer les conseils d’administration, mettre des personnes qui connaissent le terrain et tout baser autour du joueur. La perte de ces derniers mois est tout sauf le fait du hasard. En réalité, je veux surtout qu’on les écoute, car ce sont eux les plus gros pourvoyeurs de fonds.Il ne faut pas dire que les jeunes ne jouent pas, car ils jouent beaucoup... mais pas aux courses. Ils jouent aux paris sportifs, car la communication est bien meilleure.À mon sens, le modèle de référence pour le pari hippique est celui d’Hong Kong. Ils ont su mettre le joueur au centre de tout. Ils n’ont que deux hippodromes, 90 % des courses se disputent sur quatre distances différentes et ils ont un site internet d’une richesse extraordinaire.

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https://www.paris-turf.com/actualites/france/le-grand-entretien-de-bruno-barbereau-il-faut-que-le-joueur-soit-represente-aux-conseils-d-administration-des-societes-meres-et-au-pmu-301249921239<< Retour

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